Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de K. Pancol

Mon avis :

J'attendais avec impatience de lire le troisième volet de la trilogie des aventures de la famille Cortès et de ses amis... Lorsque j'ai commencé la lecture de ce pavé de 853 pages (!) j'ai été surprise.

Le style d'écriture n'est plus vaiment le même, le texte est rempli de phrases que je trouve mal construites (ex : elle pensa je devrais peut être...) sans ponctuation, avec des erreurs de typographies etc...

Ce texte est tellement différent des autres livres de Katherine Pancol que je me suis même demandé si c'était bien elle qui en était l'auteure, c'est pour dire.

Cependant, c'est avec plaisir que j'ai découvert la vie d'Hortense à Londres et celle de Gary à New York, la recherche de son père à Edimbourg etc. Mais les altermoiements de Joséphine concernant sa vie "amoureuse" avec Philippe sont un peu lourds à force. Je n'ai pas arrêté de me demander quand elle allait enfin se laisser vivre !

Cette chronique n'est pas vraiment un coup de coeur, vous l'aurez compris, mais ayant écrit un article sur les deux premiers volets de la trilogie, il était logique que je vous donne mon sentiment sur "Les écureuils".

En conclusion, ce roman est à réserver aux fans inconditionnels de Katherine Pancol, pour les autres, sincèrement, vous pouvez passer votre chemin, ce n'est pas, et de loin, le meilleure livre de cette auteure...

Le mot de l'éditeur :

Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…

"Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi" de Katherine Pancol

Editions : Le livre de Poche

ISBN : 2253161950

Prix : 8,74 €